Il y a un an, en novembre 2019, grâce à mes publications sur ce blog, j’ai été invitée par Séverine KODJO-GRANDVAUX (philosophe et journaliste pour Le Monde) pour intervenir dans le cadre des journées de réflexion de La Fabrique de Souza au Cameroun, organisées par la Galerie MAM et le MOSS – Salon littéraire. Cet évènement a réuni d’imminents intellectuels africains, universitaires ainsi que des doctorants. J’ai aminé un atelier sur « La protection des droits de la nature et des populations autochtones en Afrique dans le contexte des activités extractives ». C’est à cette occasion que j’ai fait la rencontre des personnes qui composent maintenant les comité scientifique et comité de rédaction de la Revue Pluridisciplinaire Africaine de l’Environnement.
Jeunesse Africaine pour l’Environnement, association loi 1901, créée en février 2020 suite à mon séjour à Douala, se veut être une plateforme de partage de connaissances pour les jeunes étudiants, chercheurs africains et amis de l’Afrique se sentant concernés par les défis environnementaux que le continent africain doit relever. Le but de l’association est de promouvoir une réflexion pluridisciplinaire et intergénérationnelle sur les problématiques qui intéressent tant la protection de l’environnement que les enjeux liés à la lutte contre le changement climatique en Afrique. Une des productions les plus remarquables de l’association est notamment l’édition de la Revue Pluridisciplinaire Africaine de l’Environnement qui permet d’offrir un espace de publication libre associant de jeunes chercheurs du continent et de la diaspora ainsi que des praticiens et universitaires, afin de réfléchir sur les problématiques touchant aux enjeux environnementaux, sociaux et économiques en Afrique.
La parution du premier numéro de la revue est prévue pour le 25 décembre 2020.
Pour en savoir plus sur l’association : https://www.association-jae.com/.
Par Chancia IVALA PLAINE | Spécialiste du droit de l’environnement
© Tous droits réservés. Toute reproduction de cet article est interdite sans l’autorisation de l’auteure.